J’avance à petits mots et ne suis nulle trace
Depuis le temps marmot encombré par mes glaces
Chocolat et pistache double cornet gourmand
Sandalettes affûtées culotte courte droit devant
J’aimais tant de ce temps de ces sons faire l’éloge
Et ne cessais jamais bousculant dans les cordes
Les ivraies les orties horreur miséricorde
D’espérer et d’attendre des musiques l’horloge
Celle du jeu béni à courir les minutes
Celle qui tinte à l’heure celle qui geint aux maux
Du premier mal des mies qui ronge et qui s’incruste
Des aiguilles du mal celles des temps brumaux
Mais les bruits ont couru traînant dans mes galoches
Sous leur semelle raide sous leurs tannes carmin
Des grelots de musique des blanches et des croches
A me faire voler sur sentiers et chemins
Me saisi du barda en fis du bénéfice
Cultivant de bonheur vers verdures vermisseaux
D’arbustes me complaisais ici Acanthes Alysses
M’étouffant de bonheur auprès de leurs ruisseaux
Aujourd’hui je m’épuise à errer sur leurs berges
Dés ce temps décompté aux foutraques erreurs
D’opprobres suis couvert de doutes et je gamberge
De ne pouvoir du temps remonter aux clameurs
Noël Vallier
Depuis le temps marmot encombré par mes glaces
Chocolat et pistache double cornet gourmand
Sandalettes affûtées culotte courte droit devant
J’aimais tant de ce temps de ces sons faire l’éloge
Et ne cessais jamais bousculant dans les cordes
Les ivraies les orties horreur miséricorde
D’espérer et d’attendre des musiques l’horloge
Celle du jeu béni à courir les minutes
Celle qui tinte à l’heure celle qui geint aux maux
Du premier mal des mies qui ronge et qui s’incruste
Des aiguilles du mal celles des temps brumaux
Mais les bruits ont couru traînant dans mes galoches
Sous leur semelle raide sous leurs tannes carmin
Des grelots de musique des blanches et des croches
A me faire voler sur sentiers et chemins
Me saisi du barda en fis du bénéfice
Cultivant de bonheur vers verdures vermisseaux
D’arbustes me complaisais ici Acanthes Alysses
M’étouffant de bonheur auprès de leurs ruisseaux
Aujourd’hui je m’épuise à errer sur leurs berges
Dés ce temps décompté aux foutraques erreurs
D’opprobres suis couvert de doutes et je gamberge
De ne pouvoir du temps remonter aux clameurs
Noël Vallier
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