Depuis le château d'haut .
Des Francis il en fut anonymes ou célèbres
De Carco de Lemarque de Bretagne ou d'ailleurs
Mais aucun sur Liviers ne su faire le zèbre
De vallon en sentiers ne laissant que grands pleurs
Le Francis qui cavale celui qui s'en régale
D'effrayer mille bogues usant du brodequin
Ce Francis parlons-en avant qu'un astragale
De son pied ne dévisse sans qu'il n'en sache rien
Autrement ce fut beau sous un ciel d'habitude
Taquiné de soleil qui ne pu cependant
Fondre sur des coins d'herbes cette gelée bien rude
Cette poudre légère qui nous fit chancelants
Puis au détour ami vivaient des perspectives
Qu'il fallut arracher après les barbelés
Qui nous amusaient tant tant ne furent point dérives
Nos petits sauts d'esquive sur nos bâtons mêlés
Puis nous repartirons et ce goût de conquête
Cette sève enivrante de pluie parfois de miel
Qu'il fasse très dur temps ou du beau notre enquête
Ne cessera jamais d'envisager kyrielles
Noël Vallier