Cette taie d’oreiller que tôt tu abandonnes
Me laissant sous la couette où nous dormons tous deux
M’inonde douces aurores de senteurs qui pardonnent
L’absence de ton corps et ses contours radieux
Au creux de ton absence je blottis tout mon être
Tes formes laissées là se figent et dans les plis
Du drap que tes seins frôlent et que mon coeur pénètre
Paressent dans leurs soies que mes tourments supplient
Je m’endors dans tes bras que je vois apparaître
Me noie dans ton empreinte disparais dans les cieux
Du petit paradis de l’Eden géomètre
Ce doux côté du lit ce nid douillet précieux
C’est ainsi le matin pendant cette heure exquise
Que tu me laisses prendre où clignent encore tes yeux
Qu’un peu de Patchouli ton adorable brise
Vient me souffler aimant ses effluves fiévreux
Noël Vallier
Me laissant sous la couette où nous dormons tous deux
M’inonde douces aurores de senteurs qui pardonnent
L’absence de ton corps et ses contours radieux
Au creux de ton absence je blottis tout mon être
Tes formes laissées là se figent et dans les plis
Du drap que tes seins frôlent et que mon coeur pénètre
Paressent dans leurs soies que mes tourments supplient
Je m’endors dans tes bras que je vois apparaître
Me noie dans ton empreinte disparais dans les cieux
Du petit paradis de l’Eden géomètre
Ce doux côté du lit ce nid douillet précieux
C’est ainsi le matin pendant cette heure exquise
Que tu me laisses prendre où clignent encore tes yeux
Qu’un peu de Patchouli ton adorable brise
Vient me souffler aimant ses effluves fiévreux
Noël Vallier
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